Au-delà du témoignage d’un haut niveau de professionnalisme, la conception d’Odessa relève d’un art urbain par excellence,…Des artistes urbains qui pouvaient s’appeler politiciens, architectes, ingénieurs, sculpteurs, militaires, ouvriers ont conçu cette ville dont les qualités semblent éternelles …et pourtant sont également si fragiles.[...]
Le présent poème photographique est extrait d’une exposition réalisée à l’école d’architecture de Marseille à la suite d’un voyage d’étude à New-York.
Les « voyageurs » ont voulu exprimer un hommage à une ville qui inspire les sentiments les plus puissants, tous les sentiments !
La forme donnée à l’expression est devenue progressivement celle d’un poème photographique invoquant tour à tour et simultanément l’écrivain,
le plasticien, l’architecte.
L’espace vibre du chant de vie profond et exubérant de Baudelaire, de l’imaginaire tourmenté et coloré de Rimbaud, du doux chuchotement de James Joyce, de la géométrie symbolique de Kandinsky, de la fascination statique de Richard Estes, du mouvement subtil et ordonné de Louis Kahn...
Les photos composent donc un ensemble, un message global qui se veut linéaire mais chacune attire, appelle, perturbe la lecture... et l’enrichit.[...]
L’Artiste offre à notre regard de patientes photos du Potager à travers les saisons, un vaste potager ceint de murs et de haies.[...]
Sono un geografo…con più di trent’ anni di ricerca e insegnamento sulla sistemazione dello spazio urbano e più precisamente sullo spazio pubblico e i suoi luoghi… Oggi vorrei condividere un’ esperienza personale scrivendo un racconto sensibile a proposito di alcuni luoghi di Pontinvrea. Che cosa ho trovato là, senza ricerca…senza documento…nell’ignoranza della storia…un incontro con le cose che mi hanno coinvolto…e certo non ne dirò abbastanza…[...]
Tout projet portant sur l’espace géographique s’inscrit dans un « contexte », cela est évident. Il est non moins évident que ce contexte concerne tout simplement l’ « habiter » le monde, droit essentiel de l’Humanité. Le projet implique donc la plus grande ampleur de pré-vision car une approche réductive présente un risque aussi minime soit-il pour notre milieu de vie.[...]
Le présent propos est une réflexion portant sur la relation entre valeur de l’espace public urbain et citoyenneté/identité. Il prend appui sur une réalisation à laquelle a participé l’auteur en Italie.
En plus de la prolifération de la publicité, s’amorce un processus d’installation massive et polymorphe de murs-écrans numériques dans l’espace public urbain. Si nous ajoutons à cela la prolifération d’autres « murs », alignements de palmiers en pots le long des rues et sur les places, de barrières et plots de sécurité, du « mur » de la chose enfermée sur elle-même dans son design, nous pouvons nous interroger sur l’évolution de la nature de l’espace public urbain.[...]
L’escalier, élément architectonique s’il en est, servira ici de prétexte à une interrogation sur la signification de l’espace urbain, de l’« écriture urbaine » et sur la prise en considération de cette signification dans le cadre de l’intervention sur l’espace public.[...]
Penser l'impératif de l'espace public urbain est indissociable d'une éthique de l'urbanisme. A partir de l'examen des raisons de la réussite d'un lieu concret par un architecte, il s'agit ici de montrer la nécessité de l'ouverture universelle de la pensée pour repenser l'espace urbain et pour mieux comprendre l'impératif de l'espace privé, c'est-à-dire fondamentalement de l'intimité. Espace public et espace privé doivent donc être compris solidairement.[...]
L'aire urbaine marseillaise couvre une superficie d'environ 900 kilomètres carrés et compte 1 400 000 habitants dont 800 000 dans la ville même de Marseille. Elle peut s'inscrire dans un demi-cercle de 30 kilomètres de diamètre centré sur les îles du Frioul et bordé par l'étang de Berre à l'ouest, la chaîne des Côtes au nord, les massifs de la Sainte Victoire et de la Sainte Baume à l'est.[...]
Dans une revue récente consacrée à la ville, à l'éloge de l'urbanité, le texte de présentation contenait le passage suivant : "Le centre des villes, ce n'est pas qu'un témoignage du passé, un espace restreint où se jouent des phénomènes économiques particuliers, une mode pour intellectuels branchés. C'est aussi un besoin social, celui d'une demande de rencontres, un lieu d'innovations, de modernité...".[...]
L'avènement des SIG dans la formation aux métiers de l'aménagement de l'espace urbain remet au premier plan des questions de représentation et de sémiologie graphique. Les techniques informatiques nécessitent et permettent tout à la fois une meilleure formation à la sémiologie de la graphique et exigent son enrichissement.[...]
L'avènement des SIG dans la formation aux métiers de l'aménagement de l'espace urbain remet au premier plan des questions de représentation et de sémiologie graphique. Les techniques informatiques nécessitent et permettent tout à la fois une meilleure formation à la sémiologie de la graphique et exigent son enrichissement.[...]
L'avènement des SIG dans la formation aux métiers de l'aménagement de l'espace urbain remet au premier plan des questions de représentation et de sémiologie graphique. Les techniques informatiques nécessitent et permettent tout à la fois une meilleure formation à la sémiologie de la graphique et exigent son enrichissement.[...]
Les forteresses entrent dans une des catégories du patrimoine bâti. Ce patrimoine exige des savoirs spécifiques dont peuvent découler des actions contribuant à la résistance aux multiples processus de dégradation.
Ces savoirs sont donc une source d’ouverture de l’esprit pour le projet.[...]
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